L'ouvrage commence par décrire le jeu des autorités, durant ces mois d'attente fiévreuse des États généraux, dont on espère tant. Il évoque l'élaboration des cahiers de doléances -plutôt modérés- les rivalités dans les élections, les échos des événements parisiens de juillet-août 1789. Aucun des derniers capitouls en place n'est nommé officier municipal, ni même notable.